(John Pilger est journaliste australien basé à Londres, auteur aussi de films, sur le Cambodge, le nazisme, etc. Il a visité J. Assange dans la prison pour criminel ples plus dangereux, Belmarsh, ou l'élite anglo-saxone fait mourir leur concitoyen journaliste à petit feu, il raconte là )
A gauche : le Président de l’Équateur, Rafael Correa lors de la tentative de coup d’État 2010 (il n'avait pas renouvelé la location, gratuite, de la base militaire de Manta aux USA, avait fait des nationalisations, avait porté plainte à La Haye sur les épandages massifs de Roundup Monsanto d'avion par la Colombie sur sa frontière : 200 000 ha, avec 20 passages par endroit, là). Cette tentative avait été approuvée par Fernando Vallavicencio lié au media Fundamedios soutenu financièrement par les USA (USAID, NED, la HRF de Thor Halvorssen (là )...
A droite : C'est F. Vallavicencio, ennemi politique du Président F. Correa, déjà connu pour des faux en Équateur, qui a dicté des intox qu'a publié The Guardian sous les plumes souvent de Dan Collyns, Luke Harding (qui ne sont peut-être pas "que" journalistes...) : J. Assange aurait hacké les liaisons satellites de l'ambassade (quand on connaît la vérité !), les Russes seraient venus dans l'ambassade...
On voit que Dan Collyns/The Guardian n'aiment pas plus E. Morales que R. Correa ou J. Assange... Le « climat » est une boite à outil à tout faire. L'archange-Guardian veille au maintien de la panique climatique pour un ensemble de raisons. En parallèle à ces articles, Extinction Rebellion appelait à manifester devant les ambassades de Bolivie en Europe. L'administration Morales pousse à allumer des feux dénoncent ces spécialistes de la fabrication médiatisation (là) en Allemagne :
Et sur cet exemple à Berlin Alfredo Romero de Extinction Rebellion mais aussi "directeur" de 'l'ONG" Foro Penal, opposant politique violent de Nicolas Maduro au Venezuela (là, promotteur de Guaido évidemment), est avec George Monbiot du Guardian sur le coup. C'est que Gail Bradbrook, co-fondatrice de Extinction Rebellion a le coup de téléphone facile avec "Georges" [Monbiot] rapporte l'autre co-fondateur de Extinction Rebellion Roger Hallam (cité in C. Morningstar, là)
Cela est parti d'une "environmental-activiste", "pacifiste", Jhanisse Vaca Daza,
"Cela ne surprendra pas, étant donné que Daza a étudié dans le programme des mouvements non violents chefs de file pour le progrés social à Harvard Kennedy School, bien connue pour promouvoir les cadres expatriés de changement de régime de l'Amérique Latine, y compris de personnages proéminents du clan des coups de la droite vénézuelienne comme Leopoldo Lopez... (...) Le contraste entre l'attaque contre Morales et son gouvernement socialiste démocratique, à la fois à l'intérieur de la Bolivie et via l'appel à des piquets des ambassades de Bolivie dans le monde (honteusement supporté par Extinction Rebellion à Londres), et la voie libre donnée à l'aile extrême droite de Bolsonaro par Daza et ses associé-e-s est instructif." (Tim Young in the Morningstaronline.co.uk, 10/10/2019, là, là).
C'est que les élection en Bolivie se tenaient un mois plus tard...
Il n'y a pas trop de surprise de retrouver J. Vaca Daza immédiatement interrogée par CNN en live lorsque Morales dont la vie était menacée par des milices de la droite dure, la police laissant faire a du quitter le pays. Rayonnante d'exitation, elle félicitait en direct la police de ce coup "mainly non violent".
Elle a un passeport bolivien, caricature E. Morales en dictateur sur les réseaux sociaux, et se meut dans un réseau interntional, voyageant visiblement beaucoup, d'associations comme la dite "Human Rights Foundation" de Thor Halvorssen (liée à la droite pro-US vénézuellienne) et CANVAS, Center for Applied Non-Violent Action and Strategies (financée largement par la NED, qui a aussi entrainé Juan Guaido) créé par Srdja Popovic.
J. Vaca Daza : un de ses tweet; avec S. Popovic de CANVAS; et en direct sur CNN au moment du départ de E. Morales
A coté des horreurs écocriminelles gratuites de ces leaders socialisants qui ne pensent qu'à brûler la planète, pour Extinction Rebellion la shoa historique n'est qu'une petite bétise de l'histoire (là). S'agit-il du changement (ou retour) culturel comme l'affiche The Guardian ?
The « Guardian » de la science...
« climat », Julien Assange, Amérique latine socialisante (gouvernement de Rafael Correa qui a "osé" heberger J. Assange dans son ambassade à Londres)...
C'est que c'est WikiLeaks qui a hebergé les mails du climategate de l'université anglaise de East Anglia, pas tous jolis-jolis... Et cela avait bien gâché la grand messe climatique qu'aurait du être Coppenhague sans ça (il faisait un froid de canard aussi, ce qui a beaucoup géné...)
Les emails de 1999 montrent comment à seulement quelques personnes, ils ont "peaufiné" la courbe "en crosse de hockey" qui allait se trouver en première page du "Résumé à l'attention des décideurs" du rapport GIEC 2001. Le GIEC lui-même a supprimé cette courbe depuis (complètement contraire à ce qu'il avait lui-même publié avant, et cela sans l'ombre d'une justification, belle "science"...), mais elle a tellement été reproduite partout, des journaux aux manuels de classes. Elle indiquait des siècles de diminution de la température jusqu'à une brutale montée quasi-verticale de la « température moyenne du globe ». C'était le : - la science est dite -
Ci-dessus, un email de l’ancien Directeur du CRU, Climatic Research Unit, à l'Université East Anglia à Norwich, 160 km au Nord-Est de Londres : T. Wigley, qui a un PhD de cinétique des plasmas, avec le nouveau directeur du CRU, P. Jones (collecteur de données météo coloniales), sommité du GIEC, discutant, une fois de plus, de petits « arrangements » entre amis de forme de courbe. En copie du mail est Ben Santer, qui a fait son PhD, en statistiques, à East Anglia lorsque M. Wigley dirigeait la CRU, qui est alors aux USA au très atomique Lawrence Livermore National Laboratory. Ben Santer est lui aussi un « auteur principal » du GIEC-1995 (Climategate email di2.nu/foia/1254108338.txt, reproduit là)
Depuis le temps que James Hansen et l'ONGiec qui va avec 350.org ont lancé leur campagne planétaire d'abord dans The Guardian (là), on constate une chose,
lui et ses pairs, en parallèle avec The Guardian :
♦ regardent, sadiques, mourir à petit feu dans une prison de haute sécurité au centre de Londres un journaliste qui a fait ce qu'il estime être son devoir de transmission de révélations qu'on lui a données sur des actions militaires pas regardables, très loin des USA, à coup de jet fuel et de fioul lourd, ou encore de scientifiques à demi-faussaires qui manipulent la crédulité publique,
♦ pendant que l'élite de United Airline, American Airline, Delta Airline, British Airways, US-Air-Force, la RAF, leurs fournisseurs Boeing, Airbus, Lockheed Martin, réacteurs Pratt & Whitney, RollsRoyce, Genera-Electric-Safran... leurs fournisseurs à eux d'aluminium, métaux spéciaux, électronique-silicon-valley à tous les étages, etc., tous dépendants (donc défenseurs en backstage) de leurs indispensables ConnocoPhillips, Shell, British Petroleum, ExxonMobil, Chevron, ex. Presque toutes leurs guerres et bases militaires sont là où il y a le pétrole.
Pour cette personne, James Hansen, aux 45 ans de fiches de paye de la NASA, depuis Ronald Reagan, il faut sacrifier les budgets publics pour la relance du nucléaire (là) et, encore avec The Guardian (là), le nucléaire, cette chose tellement à part qu'elle ne peut exister (et est autorisée à) rouler (quasi) sans assurance (comme là).
Ailleurs que sur The Guardian, ce/ces jours là, on pouvait lire ça : les bons épinards (même s'ils étaient bio, et il y en avait), des petites fumées de différentes couleurs, un peu de pétillements..., situation qui, chez d'autres, simulait quelques remarques. les 160 000 évacué-e-s elles/eux ne pouvaient que pleurer leurs bêtes et quelques années plus tard leurs thyroïdes.