- Le combustible "non carboné" civil est secret défense nationale
- Le transport du combustible non carboné du chauffage électrique EDF civil consomme énormément de gendarmes ( pendant que les petites vieilles se font voler leur sac, et qu'il faut deux jours pour pouvoir faire dépostion d'un vol )
- En cas d'accident d'une usine civile de base au combustible non carboné, le secrétaire général de la défense prend les choses en main
- Tout soldat ou gendarme qui refuse d'obéir sur un territoire déclaré en état d'urgence est puni d'un emprisonnement de 5 ans (→ seront les premiers irradiés)
- En cas d'accident d'une usine civile de base au combustible non carboné, le préfet a plein pouvoirs, les ministres « précisent les conditions d'information de la population ainsi que le contenu et la fréquence des messages »
- Code de la santé : en cas d'accident d'une usine civile de base au combustible non carboné, les pompiers, samu, "équipes spéciales... désignées", auront la gentillesse de "prendre" 300 mSv (poumons, foie, gonades, etc.), pas plus de 1000 mSv ("grillés" quoi..), pour sauver ce qui peut l'être
- La centrale civile au combustible non carboné avait trois ans : Tchernobyl, c'est « civil » ça ??, un dossier de Infonucleaire
- parmi d'autres, liquidateurs tadjiks
- Une nouvelle zone militarisée : Bure
- Société nucléaire, société militaire -
- Outre leurs pollutions durables tout au long de la chaîne, les 300 bombes ne servent qu' à auto-reproduire le couteux CEA et alimenter des fantasmes élito-hollywoodiens de destructions massives. Le nucléaire a à l'inverse rendu le pays indéfendable, les soldats, ou FFI, etc., ne serviront à rien, un petit état ou groupe pas idiot peut envoyer des missiles sur n'importe qu'elle centrale ou usine «civile» qui parsèment notre pays, ou un avion..., ou un sabotage, enfantin de l'intérieur... -
Les obligations de la viande à Sievert au service de l'atome sont en place :
"Les nouvelles dispositions concernent les exploitants d’installations nucléaires de base, les entreprises sous-traitantes qui interviendraient à la demande de l’exploitant ou sur réquisition de l’État en cas d’accident, certains services de l’Etat ainsi que les entreprises qui contribueraient au maintien en fonctionnement d’une activité d’importance stratégique non interruptible (hors du site accidenté)."(Instruction n° DGT/ASN/2018/229 du 2 octobre 2018)
« réquisition » des personnes = c'est comme quand c'est la guerre, non ?
Vaste ce petit texte : il n'y a pas mention du nombre de niveaux de sous-traitance.
"L'employeur identifie" ceux qui iront dans un « premier groupe », celui qui doit prenrdre de la dose (Code trav. R4451-99), les travailleurs «confirmeront» leur accord (Code trav. R4451-102).
Pour sauver ce qui peut l'être, le « niveau de référence » des travailleurs intervenants, «volontaires», est de 500 mSv juste pour l'exposition externe (celle interne est cadeau)(Code du travail R4451-11).
« La dose efficace totalisée sur la vie entière d'un travailleur intervenant ne dépasse en aucun cas 1 sievert.»(Code du travail R4451-9).
Exemple de jeunes hommes de 25 ans qui n'ont trouvé que ce boulot en 3ème niveau de sous-traitance (ils ont signé le contrat avec des lignes écrites toutes petites en bas, pas le choix de toute façon). Ils ont pris 5 mSv les deux années précèdentes. Ils pourront prendre jusquà 995 mSv sur un Orano-La-Hague ou un EDF-Bugey en détresse, etc., ça ne se sait pas d'avance, leur employeur sous-traitant 3ème niveau sera dans les clous.
Car il suffira à l'employeur/État français de leur dire au moment de l'« au-revoir » de ne plus prendre de dose anthropocène non carbonée par la suite (hors naturel et médical), "suite" qui avec une telle dose risque fort d'être brusquement racourcie de toute façon.